Time of the Cherries

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Dans quelques jours l’été sera enfin là, les chaleurs de ces derniers temps laissent présager un été qui ressemblera enfin à ce qu’il doit être : chaud, orageux, insoutenable… La fin du printemps annonce aussi l’arrivée des cerises, précieux joyaux s’accommodant de mille façons : au kirsch en Alsace, en clafoutis, à l’eau de vie, en forêt noire (pour les courageux, car ce dessert est plutôt pour l’hiver !), ou simplement dégustées nature… Mais la cerise peut aussi se marier admirablement au mascarpone pour en faire un tiramisu des plus goûtu… Jugez plutôt ! L’avantage de cette recette est que vous pouvez la préparer la veille pour gagner du temps !

 

Crème de mascarpone aux cerises caramélisées

600g de cerises dénoyautées (les griottes congelées Picard conviennent très bien pour ça)
1c.à soupe de pistaches nature, non salées, concassées (soit dans un mixer, soit dans un mortier)
200g de sucre fin
3 jaunes d’œufs
250g de mascarpone
15 cl ce crème fleurette très froide
2 cl de kirch
2 c. à soupe de sucre roux

Faire cuire les cerises avec 60 g de sucre (prélevé sur les 250g), à feu vif attention au débordement….laissez refroidir.

Battez les jaunes avec le reste de sucre, jusqu’à ce qu’ils deviennent blancs et mousseux, incorporez le mascarpone.

Montez la crème en chantilly ferme, incorporez-la délicatement au mélange précédent. Mettez de côté au réfrigérateur.
Ajoutez le kirch dans la compote de cerises.

Montage:
Alternez dans une coupe en verre des couches de crème de mascarpone et de compote de cerises. Terminez par la crème. Mettre au frais.

Au moment de servir, poudrez de sucre roux et caramélisez avec un chalumeau de cuisine, puis parsemer la surface de pistaches concassées.

Pour ma part, quand les cerises sont cuites, je les mets de côté, et je continue la cuisson du jus de façon à le faire réduire. Lors du montage je mets un peu de jus dans le fond de la coupe, les pistaches je les mets dans le petit mixer. Je n’ai pas osé caraméliser dans la coupe de peur de la faire éclater, c’est aussi bon ainsi…. Pour caraméliser sans risquer que le verre éclate, mettre le montage dans un ramequin allant au four. Mais n’ayant pas de transparence, le visuel sera moins bluffant…

Au commencement, étaient l’arbre et les fleurs… les Sakuras sont toujours un spectacle inoubliable

Montage : fond avec les cerises caramélisées.

La touche finale, les pistaches concassées qui donnent un léger goût d’amandes amères à ce tiramisu de poche !

Pâques au Jardin…

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Le Printemps est enfin là, un peu humide hélas, mais ce n’est pas une raison pour se laisser abattre ! Un repas de midi s’impose pour fêter, on l’espère, l’arrivée des beaux jours…

Dans l’entrée, un chat intello surveille un photophore Renaissance orné de lilas…

Sur la table, un beau bouquet d’œillets prune, de roses blanches et de paniculata ou limelight…

 

Sur une nappe chocolat en lin (Linvosges), les verres de Biot son mis en valeur par cette couleur de terre…comme un parterre de jardin !

Une serviette de table (Mas d’Ousvan), orné de framboises, joue la transparence avec l’assiette

Les verres bullés poussent, comme autant de bulbes sortant de terre…

La serviette est ceinte de ronds de baies artificielles

Le repas est presque prêt, le vin s’invite à table…

Entrée : bavarois d’asperges, vinaigre balsamique et sa pointe d’asperge cuite

Plat : gigot d’agneau aux anchois et au romarin, pommes de terre grenaille

Dessert : bavarois à la fraise, coulis de fruits rouges et framboises fraiches

Boule de paniculata emprisonnée dans un photophore…

Le doux parfum des fleurs printanières emplit le manteau de cheminée…

Les invités repus partent en fin d’après-midi sous l’œil binoclard et attentif d’un félin à chapeau melon…

 

BAVAROIS D’ASPERGES

Pour 4 personnes
600g d’asperges vertes (2 bottes environ)
8g de gélatine en feuilles
20cl de crème fleurette
1c. à soupe bombée de noisettes ou d’amandes en poudre
Sel et poivre du moulin

 

1) Faites ramollir les feuilles de gélatine dans de l’eau froide.

2) Faites cuire les tiges d’asperges pelées et coupées en morceaux dans l’eau bouillante salée environ 8 à 10 minutes suivant la grosseur des asperges, puis égouttez-les, en gardant un peu de d’eau de cuisson.

3) Gardez quelques pointes pour le décor, (faites-les cuire le jour même).

4) Mixez-les encore chaudes, si trop épais mettre un tout petit peu d’eau de cuisson, attention ce n’est pas de la soupe ! Incorporez la gélatine égouttée aussitôt, puis la poudre de noisettes. Saler et poivrez. Mettre en attente au froid. Attendre que la température de la masse soit froide.
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5) Fouettez la crème en chantilly. Incorporez délicatement à la purée d’asperges refroidie .

6) Huilez 4 petits moules individuels (si vous voulez des grosses quantités, sinon, avec cette recette, vous pouvez facilement en faire 6 dans des petits ramequins ou pots en verre type La Laitière). Remplissez de la préparation aux asperges et laissez prendre 5h au réfrigérateur, mieux le faire la veille.

7) Démoulez délicatement les bavarois sur les assiettes, décorez avec les pointes d’asperges coupée en éventail, arrosez de quelques gouttes de vinaigrette. Ou laissez dans un joli ramequin.

8) Dégustez-les frais, sur un lit de salade.

 

 

Fresh Almonds

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amandes, du printemps

Petit plaisir du Printemps, l’arrivée des amandes fraîches ! A l’extérieur, leur enveloppe est faite du meilleur velours qui soit. Brisées, elles émanent un parfum d’herbe coupée, pour ensuite révéler un fruit à coque d’un blanc laiteux emprisonné dans un dernier rempart d’un jaune tendre…

Le Temps des Cerises…

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On dit souvent que le mois de Mai est celui des cerises; mais c’est aussi celui du vert qui triomphe partout pour se préparer pour le grand saut de l’été : dans les champs, dans les vignes, dans les potagers… Le mois de Mai est celui des chaleurs douces, des premières soirées qui se prolongent, du pied-nu posé sur l’herbe…délice tant rêvé durant les jours froids et sombres. Cette fois, le choix s’est porté sur une table en vert et rose vif, deux couleurs pour réveiller la neutralité habituelle.C

Cette fois, j’ai composé un bouquet à base de pivoines d’un rose très vif, d’œillets et de muguet, le tout dans un vase carré assez bas.

La table est ornée d’une nappe blanche comme fond neutre et par-dessus, une pièce de tarlatane vert anis. Cette matière est très facile à manier, peu chère, elle permet des fantaisies incroyables. Rigide, elle se froisse facilement, se modèle, se plie, se déplie…Ici, la pièce de 2mètres sur 150 est nouée au pied de la table avec du raphia vert également, idem pour l’autre extrémité.

Pour parfaire les serviettes, un joli ruban de satin rose vif les reliera aux couverts ivoire…

Telles des fleurs poussant dans un jardin, mes verres de Biot verts semblent surgir de la terre…

Le vert de la tarlatane donne à l’ensemble des reflets anisés, comme ceux d’une rivière dans la campagne…Les assiettes en verre d’un vert transparent donne l’illusion de flaques de-ci, de-là…

Des serviettes Mas d’Ousvan, une très bonne marque produisant en Inde du linge de table de très bonne qualité imprimées à la main et de façon traditionnelle, donne une note d’un rose vif grâce aux cerises ornant ces pièces de tissu.

Le détail fait souvent la différence… un petit ruban et cela vous habille des couverts !

Vous avez des couverts dépareillés mais dans une même tonalité de style ? Associez-les, cela confèrera un caractère particulier à votre table !

Sur un petit meuble, une branche de lilas blanc ramassé au hasard d’un chemin de laisse enlacer par les baies artificielles, vestiges décoratifs du dernier dîner…

En cuisine, les ravioles fourrées à la pomme de terre, pecorino pepato (un fromage italien à base de lait de brebis aux grains de poivre) et menthe sont en devenir…

Mise en bouche : verrines de glace tomate-basilic et sa tuile de parmesan.

De loin, la tarlatane fait son petit effet vaporeux….

Entrée : pêches rôtie au thym et à l’huile d’olive sur un lit de coppa, mozarella de Bufflone crémeuse (de chez l’épicier italien, incomparable avec ce que l’on trouve en supermarché ), vinaigrette au balsamique, crème et huile d’olive, thym. Feuilles de roquettes.

Plat : les fameuse ravioles frites dans du beurre, feuilles de basilic en décoration.

Et pour finir, un bavarois fait maison,dont l’aspect rappelle les coiffes des élégantes du XVIIIème siècle… le tout orné de framboises fraîches.

Quelques Maras des Bois (variété de fraises ayant la particularité d’avoir la saveur des fraises des bois ! )viennent compléter le coulis…

….la soirée se termine sur un autre bouquet de fleurs, pivoines et roses fushia, un délicieux hasard faisant qu’elles s’accordent à ma table…

... et aussi du Thé au Chocolat, un excellent mélange subtil aux légères notes de café signé « Un Dimanche à Paris ».

Le Joli mois de Mai

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Bouquet composé de dills (fleur de l’aneth), hypericum vert et œillets blancs

Le Printemps semble enfin là… pour le célébrer, une table en blanc et vert, toute en transparence (mot bien à la mode, surtout en politique actuellement !), comme le reste de la table qui mise sur ce duo chromatique.

Forêt de verres… parmi eux, les Biots verts et bullés, mais aussi des petits nouveaux, des verres à pied transparents de chez Zara Home.

Une couronne de baies imitant la symphorine entoure les serviettes de table…

De nouveaux couverts ont rejoint ma collection : manche en ivoire terminé par un manchon ouvragé, ils s’accordent parfaitement avec la nappe de lin blanc crème.

Vue du ciel… un petit effet étendue d’eau cristalline, telle une rivière dans la campagne…

Au loin, le vase, bullé lui aussi, donne un petit effet aquatique à l’ensemble…

L’entrée se compose d’un bavarois d’asperges avec sa tuile au parmesan, sa vinaigrette au balsamique et sa pointe d’asperge pochée.

Le plat est, quant à lui, plus rustique et surprenant. D’après une recette de Jamie Oliver, jeune chef anglais surnommé « the naked chef » car sans étoiles, il s’agit d’un gigot d’agneau rôti au romarin et aux anchois et sa poêlée de pomme de terre grenailles. Vous doutez de l’association anchois/romarin ? Je vous assure que cela a maintes fois fait ses preuves, mais auprès des plus dubitatifs…L’anchois et le romarin étant très goûtus, ils parfument la viande tout en la salant et donnent à la sauce un goût unique !

Pour finir sur une note verte, j’ai triché en colorant cette meringue au chocolat. Un pavlova au chocolat, crème fouettée et fruits rouges de saison termine le repas en beauté et presque en légèreté…

La Tomate Noire de Crimée

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Quelle est belle cette tomate pas comme les autres ! D’un rouge tirant sur le vert foncé et  le noir, la tomate de Crimée vous saisit du regard par l’aspect brut de sa robe sombre. Que dire de la Crimée, cette contrée de l’Ukraine jadis prospère, ce potager qui alimentait la Grande Russie, cette terre bénéficiant d’un climat doux qui faisait d’elle la Riviera Russe ? On attribue également les origines de ce fruit (rappelons-le, la tomate est classée dans cette catégorie) à la région de Moldavie, autre contrée slave. Mais sa mère-patrie est avant tout le Pérou !

 

A l’intérieur, sa chair se fait pleines de nuances, hésitant entre le rouge foncé, le noir, le vert foncé…un véritable tableau à elle seule… Son seul défaut ? Son prix, hélas très élevé au kilo. Elle est donc un petit plaisir à s’offrir de temps en temps, et lorsque la saison s’y prête, c’est à dire de Mars à Mai.

Un petit Tour au Marché…

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Un de mes petits bonheurs de fin de semaine, c’est de faire le marché… Rien de tel que de flâner entre les étals de fruits, de légumes, de coquillages et crustacés, de fromages ou de fleurs… Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, impossible pour moi de faire l’impasse sur ce grand moment qui ouvre pour de bon le week-end… Parmi mes étals préférés, celui du fleuriste !  Le mien est particulièrement gentil, toujours de bons conseils et ses arrivages sont toujours frais et impeccables. Rien à voir avec des franchises parfois limite sur la qualité… Bref, avoir un bon fleuriste est aussi important qu’avoir un bon coiffeur !

Le Printemps arrivant, du moins, en théorie, on retrouve avec bonheur les renoncules, les jacinthes terminant leur saison hivernale et autres végétaux bienvenus dans les bouquets… Aller, je vous emmène faire un petit tour dans mon panier ?

Blanches, roses ou rouges, les renoncules règnent…

Là, de l’hypericum…

Cet hiver rigoureux et long a au moins l’avantage de prolonger les hyacinthes…

Rose…. la fleur éternelle…

Des renoncules jaune orangé… elles seront parfaites associées à de l’eucalyptus pour un bouquet à offrir pour quelqu’un chez qui je suis invitée ce soir !

Quand le Printemps frappe à la porte…

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Un peu de Printemps frappe à ma porte…

… Il y a quelque chose dans l’air… c’est comme un vent léger, un gazouillement joyeux, une liesse qui fourmille… Il y a quelque chose en l’air : comme un vol d’hirondelles, un nuage floconneux jouant à saute-mouton avec un doux soleil… Il y a quelque chose sur terre… un zéphyr parfumé qui serpente, l’éventail déployé d’une une jonquille mutine et capricieuse, des pétales qui pleuvent tels des flocons de plumes… Pas de doute, le printemps, ce joyeux géant, arrive à grands pas !

Phénix immuable, il sème la joie et la surprise à chacune de ses renaissances. Émerveillez-vous, enivrez-vous ! Oserez-vous cueillir la première rosée dans l’écrin d’une fleur nouvelle ? Oserez-vous poser un pied nu à même l’herbe humide du petit matin ? Aurez-vous l’audace d’embellir votre chevelure de pistils futiles et volatiles ? Enivrez-vous ! Face aux jours qui rallongent, défiez la marmotte qui naguère sommeillait en vous pour vous faire faune sous l’or du soir… Émerveillez-vous du chant du coucou, de la violette coquette fuyant le profane venu faucher sa beauté éphémère, de l’hérisson pique-assiette vous présentant ses amitiés… Enivrez-vous, vous dis-je, du vent dans les arbres pleurant leur parure à jamais emportée, des vrilles de la vigne poussant timidement, des premières fraises dérobées, du petit pois croquant plein d’une saveur verte… Oui… enivrez-vous, encore et toujours de cette promesse renouvelée et des lendemains qui chantent dans cette célébration de la vie !

Des renoncules, un peu d’eucalyptus, quelques fleurs vertes étoilées…

Plus loin, une jacinthe rose…

… et quelques fleurs de cerisier en bouton…

Printemps Chinois

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Le printemps approche à grands pas, et déjà les arbres commencent à fleurir… Pour fêter cela, un dîner chinois où l’on croise des lampions et des fleurs de cerisiers roses…

Dès l’entrée, les lampions prennent le pouvoir…

…les fleurs de cerisier grimpent…

La table est dressée. Cette fois, c’est une nappe gaufrée aux tons framboise tirant sur le rouge avec un triptyque de couleurs : violet, rose et blanc. Au-dessus, un lampion rouge s’est glissé par malice et pour rappeler cette invitation au voyage…

Les baguettes sont dans un étui fait de tissu laotien. Un ruban de raphia rouge framboise ceint les serviettes de table assorties à la nappe.

Dans une théière en fonte (japonaise, sacrilège !), des branches de prunus taillées bas afin que les convives puissent se voir.

Je n’ai rien trouvé de mieux que mes verres à pied violet et mes verres à eau rouge pour assortir le tout à ma nappe.

Ma table chinoise vue du ciel…

Pendant ce temps, en cuisine, les raviolis faites maison se préparent…

De part et d’autre du miroir, des lampions chinois sont accrochés.

Des bougies mauve pâle sont allumés, les branches de prunus sont emprisonnées dans un vase en verre…

Les raviolis sont frits ! Poulet, coriandre, gingembre et épices les composent…

Salade froide de brocoli épicé et nouilles à la sichuanaise sont en entrée froide.

… suivis d’une soupe de ravioles au bouillon pimenté et basilic, coriandre frais.

Enfin, le plat de résistance : du bœuf sauté aux pois mange-tout.

Pour ne pas faire agoniser les invités, un dessert simple et léger : salade de mangue fraiche à la menthe et sorbet passion/mangue.

La soirée est finie, les cerisiers ont fleuri…

…reste alors des pétales éphémères à la lumière des bougies…

 

Joli mois de Mai

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Pivoines, roses et hypericum composent ce bouquet démesuré pour un dîner de fête.

Ce soir, ça ne rigole pas, il faut faire les choses en grand… nappe garance foncé, gros bouquet de pivoines et de roses…

Verres bullés vert d’eau, assiettes en verre, serviettes entourées de ronds végétaux…

…couverts en fer forgé ou serviettes vertes et fleuries composent cette table…

…vu de près…

Apéritif : macarons à l’huile d’olive et à l’olive, grisini à l’olive et aux herbes.

… raviolis « nus » de ricotta et de parmesan servis dans un bouillon de verveine et citron d’après une recette d’Alba Pezone.

En entrée, millefeuille d’aubergine, tomates séchées et confites maison, moza di buffala et basilic servit sur un toast brioché, toujours d’après Alba Pezone.

Toujours sur une note italienne, le plat principal se compose d’un Osso Bucco et sa part de polenta poêlée.

Dessert : je suis dans ma période minimaliste. Panna cotta au citron, fraises confites au vinaigre balsamique, fondant au Nutella !

Panna Cotta : la crème citronnée (au citron bio non traité) est superposée sur une couche de gelée d’oranges et de citron infusés au romarin. Sur la couche de crème, zestes de citron mêlé à du sucre.